Les conseils de lecture d'une professionnelle passionnée !
Mort aux geais ! La révolte gronde, mort aux élites ! La guerre dans les colonies s’éternise, ce que la population ne supporte plus. Au milieu de cette tension se cachent deux personnages, seuls rescapés d’un massacre. Retrouvez les personnages de la Capitale du Nord pour une suite très attendue ! Si vous avez lu le premier vous avez sans doute très envie de lire ce second ! Foncez !)
Ce titre vous dit peut-être quelque chose “only lovers left alive”, car il a inspiré la pop culture (il y a même un film de Jarmusch qui s’appelle comme ça, avec des vampires). Sorti en 1964 il a été interdit en Irlande et est devenu un classique. J’étais curieuse de le découvrir, pas vous ? Êtes-vous prêts à plonger dans ce monde post-apocalyptique où des adolescents livrés à eux-mêmes doivent survivre…
“La relieuse d’Oxford” s’appelle Peggy et elle travaille comme sa mère et sa soeur jumelle aux Presse de l’université. Suivez ses aventures alors que la première guerre mondiale gronde et envoie les hommes sur le front. Vous découvrirez une jeune femme brillante cantonnée au rôle que la société accepte d’elle à cette époque. Mais la guerre modifie les règles du jeu. Après “la collectionneuse de mots oubliés”, voici “la relieuse d’Oxford”, chacune amoureuse des mots.
“Une valse pour les grotesques” ou le pouvoir de la création. Un roman singulier dans lequel vous retrouverez une ville très particulière, des grotesques, des légendes, de la musique, des secrets, des bizarreries, un bébé qui a toutes les caractéristiques d’un faune : le symbole que quelque chose est en marche… mais quoi ? Laissez-vous dérouter par ce roman original.
Bienvenue à Locmaria, bourgade balnéaire bretonne tranquille où il fait bon vivre. Tout semble changer dans ce village du Finistère lorsque la maison de la pointe de Kerbrat est vendue à un inconnu. Ou plutôt une inconnue, Cathie Wald, alsacienne. Sa venue va diviser, voir l’ouverture d’un restaurant alsacien, connaître une mort suspecte qui ressemble bien trop à un meurtre, des secrets cachés remontés à la surface etc. Un village paisible ? Pas vraiment.
Une maison idéale pour élever une famille… vraiment ? C’est ce que vont croire deux familles à quarante ans d’écart. Puis l’étrange, la suspicion, les questions et la crainte vont s’inviter dans le quotidien. Mais que se passe-t-il dans cette maison ? Lieu avec une âme maléfique ? Ou personnes isolées qui gèrent mal cet isolement et se laissent emporter par une psychose ?
“La danse macabre” est un second tome et fait suite à “la chambre mortuaire”. Dans ce nouveau tome notre aliéniste doit se reconstruire. Il se lance dans une enquête dans laquelle vous serez plongés à Paris en pleine Exposition universelle. Vous y retrouverez des mains momifiées, des cadavres mutilés, des policiers fouineurs et têtus, des spectacles de prestidigitation et une plongée dans la psyché d’un tueur pour comprendre ses motivations.
Ce “superméchant débutant” c’est Charlie qui hérite de l’empire d’un grand superméchant alors qu’il ne vient pas de cet univers. Alors pourquoi un chat en costume sur la couverture (elle vous interpelle, n’est-ce pas ?) Parce qu’il va croiser d’autres superméchants, des chats intelligents ultra badass en mode espion, des dauphins augmentés et syndiqués avec lesquels il faut négocier, une base secrète au fond d’un volcan… bref, pas de répit pour Charlie !
“Excaliber” nous dévoile, dans ce premier tome, un fait surprenant ! Et si les légendes Arthuriennes n’étaient pas des légendes mais des faits historiques transformés en légendes pour la postérité et asseoir le pouvoir d’un haut roi ? Comment construire un roi ? C’est la mission que vont se donner deux hommes pour pacifier leur pays en guerre : Myrrdin et Lancelot. Vous connaissez ?
“Vous allez tous mourir” nous dit la couverture, car personne n’entendra vos hurlements. Inspiré d’une histoire vraie, “hurlements” nous plonge dans l’Utah en 1846 alors que des pionniers se dirigent vers la Californie. Ils n’écoutent pas les conseils de ne pas prendre cette route… ils le regretteront.
